29 Oct Un peu de tout sur moi
Tu es atterri sur mon site web et cliqué sur le bouton « Lire la suite » dans la section « À propos de la fondatrice » ou « Blogue ». Tu souhaites en savoir plus sur moi ? Tu es au bon endroit. Cependant, en toute transparence, j’ai attendu un certain temps avant d’écrire cette partie.
Pourquoi, demandes-tu ? Parce que cette entreprise ce site web, ce blogue, ou n’importe quel autre endroit où tu lis ces lignes est pour toi, le client, le navigateur de mon site web, la personne qui veut en savoir plus sur mes services ou qui traque sa concurrence.
Cependant, quelques personnes m’ont suggéré (d’accord, fortement suggéré) d’écrire un article de blogue sur moi. Alors, voilà !
Pour m’inspirer, j’ai demandé à mon adjointe de me poser quelques questions. Voici donc quelques réponses.
Comment en es-tu arrivé à lancer une entreprise de traduction ?
Tout a commencé en 2006, lors de mon premier congé de maternité. La naissance de ma fille a coïncidé avec la fin d’un contrat de 2 ans au Y des femmes de Montréal.
Lorsque j’y travaillais, j’étais entourée de femmes qui essayaient de jongler avec le travail à l’extérieur de la maison, les jeunes enfants et le temps pour elles-mêmes. Même si c’était un travail formidable qui me permettait d’utiliser mes compétences en matière de leadership et d’organisation, une fois que je suis devenue maman, l’idée de travailler en dehors de la maison ne me plaisait plus.
Je voulais être une maman à la maison, mais je voulais aussi travailler…. Cela m’a amené à faire un changement radical et à lancer ma propre entreprise.
Travailles-tu seule ?
Non ! Bien que le nom de mon entreprise soit Julie Bourbeau, Services de traduction, il ne s’agit pas d’un one-woman-show. J’ai appris très tôt dans mon parcours de traductrice que je devais compter sur l’aide de réviseurs pour bien servir ma clientèle. J’ai la chance d’avoir les meilleurs dans mon équipe ! Birgit et David, respectivement réviseurs pour l’anglais et le français.
Leur contribution est cruciale ! Je compare la traduction de contenu à la rédaction d’un travail de recherche pour le CÉGEP ou l’université. Peu importe le nombre de fois que tu relis ce que tu as écrit, je peux te garantir que ton professeur trouvera quelques erreurs. Dans mon cas, le prof est un client et, en tant que tel, ce client ne mérite que le meilleur. C’est pourquoi tout ce qui est envoyé à un client a été méticuleusement relu avant d’appuyer sur le bouton envoyer.
Edwige Bouyer, de EB Adjointe Virtuelle, est mon adjointe extraordinaire. Entre autres tâches, elle s’assure que tout le contenu te parvient par le biais de ce blogue, mes courriels et les médias sociaux.
Quel est ton plus grand défi en tant que pigiste ?
L’isolement ! Même avant la pandémie…
Pendant les neuf premières années d’activité, c’était essentiellement moi, les enfants et un ordinateur. Puis j’ai commencé à réseauter. Ça a tout changé !
Aujourd’hui encore, même si le réseautage est devenu virtuel, je me fais un devoir de participer à 3 ou 4 événements Zoom par mois. Les gens que je rencontre lors de ces événements m’inspirent et continuent de m’inspirer dans ma mission d’aider des gens comme toi à rejoindre le marché francophone, à augmenter leur visibilité et à avoir un message bilingue cohérent.
Pourquoi les gens devraient-ils investir dans des services de traduction professionnels plutôt que de le faire eux-mêmes, demander à un collègue, un ami ou un membre de la famille ou utiliser Google Translate ?
Excellente question ! Clique ici pour un article à ce sujet.
J’ai sauvegardé d’autres questions dans une banque de contenu pour de futurs articles. À suivre!
En attendant, si tu as des suggestions de questions, publie-les dans la section commentaires ci-dessous.
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